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jeudi 31 mai 2007

Attention danger : jeu du foulard, de la canette, de l'aérosol ..


Difficle de l'extérieur de distinguer des jeux qui ont cours dans toutes les cours de récréation et certains jeux qui sont réellement dangereux et qui mettent la vie des enfants en danger.

En jouant au jeu de la canette, au jeu du foulard, c'est une manière pour les enfants de montrer dans un monde, où tout semble leur échapper, qu'ils peuvent faire ce qu'ils veulent de leur corps. A surveiller de très près !

Le jeu du foulard :
Avec pour objectif, la recherche de sensations planantes.
Le principe est de provoquer un évanouissement par strangulation, qui a pour conséquence de diminuer l'irrigation en oxygène du cerveau. L'initiation a lieu entre copains, à l'école, en colo, ... mais l'enfant a souvent envie de retenter l'expérience seul chez lui.

Soyez en alerte notamment si vous constatez des traces sur le côté du cou, ou des maux de tête à répétition, ou la présence de cordes, de foulard ou de ceinture dans la chambre de votre enfant.

Le jeu de la canette
Avec pour objectif, la volonté d'exprimer sa supériorité et de mettre à l'épreuve sa force.
Le principe est de faire un cercle, une canette de soda est lancée vers un des participants. Si l'enfant, désigné comme victime, ne la rattrape pas, il est frappé par le reste du groupe. Un enfant victime un jour, peut devenir le bourreau le lendemain. Le jeu se pratique dans les cours de récréation, à l'école et dans tous les lieux où un groupe peut se constituer.

Soyez en alerte, si vous constatez des hématomes fréquents sur le corps, ou le visage, des habits déchirés.

Le jeu de l'aérosol:
Avec pour objectif de se déformer la voix, de s'amuser entre copains
Le principe est d'inhaller le produit contenu dans un aérosol pour se déformer la voix. Ce jeu peut se pratiquer un peu partout, en petit groupe, entre copains.

Soyez en alerte si vous constatez la présence d'aérosols dans la chambre ou dans les affaires de votre enfant.


Les enfants qui sont morts à la suite de telles pratiques n'avaient aucune tendance suicidaire, ils voulaient juste "tutoyer" la mort pour se sentir tout puissant ...

En finir avec la mauvaise haleine

Nul n'est incommodé par ses propres odeurs. C'est bien là un trait de l'espèce humaine. Découvrez les causes et les moyens de remédier à ce problème qui peut affecter votre vie sociale.

La mauvaise haleine est donc une perception sensorielle des autres, pouvant retentir sur à la longue sur la vie sociale de celui qui l'émet.

Les causes "gastronomiques" et digestives

A l'état normal, l'estomac est bien étanche et les remontées ne peuvent se faire qu'à l'occasion d'éructations. Certains aliments en cours de digestion peuvent donc altérer passagèrement l'haleine : ail et oignon, sauces grasses, alcool sont généralement en cause et leur effet ne dure pas longtemps.

Un émulsifiant gastrique, un accélérateur de la sécrétion biliaire suffiront à gommer rapidement ces effets gênants chez le dîneur indemne de toute affection digestive.

L'acidité gastro-oesophagienne

Elle perturbe l'haleine chez des personnes qui n'ont pas forcément de manifestations digestives. Le tabac et l'alcool sont souvent responsables, mais il arrive qu'aucune cause ne soit retrouvée. L'haleine est alors lourde, parfois fétide.

Les médicaments anti-acides et anti-reflux doivent être pris sur prescription médicale stricte. Ils sont efficaces, surtout chez l'enfant.

Les affections dentaires

Elles sont fréquemment la cause persistante d'une mauvaise haleine.
Les caries négligées s'accompagnent souvent d'une gingivite et peuvent se compliquer d'abcès. Tout cela peut faire exhaler de fortes odeurs.

La rétention alimentaire

Les chicots et dents creuses sont autant de pièges à particules alimentaires qui stagnent et pourrissent peu à peu. Les bouches en très mauvais état se signalent ainsi par une odeur assez typique.

Les problèmes buccaux

Toutes les inflammations et infections de la bouche sont susceptibles de gâter l'haleine.

Parmi les plus courantes, on compte les mycoses (muguet) et les angines.

Les problèmes de nez et de sinus

Ils sont plus fréquents qu'on le pense. Les rhinites et sinusites chroniques, la rhinite croûteuse appelée ozène retentissent à la longue sur l'haleine.

Le stress est une cause non négligeable de mauvaise haleine.

Alors, que faire ?

  • S'attaquer aux causes locales, surtout bucco-dentaires, mais aussi ORL ;
  • Ralentir les "émetteurs d'odeur" : tabac, alcool, aliments ;
  • Calmer l'acidité gastrique ;
  • Faire un bilan général si la mauvaise haleine persiste malgré toutes ces mesures.

lundi 21 mai 2007

Grippe aviaire : la Suisse incite la population helvétique à s'équiper en masques de protection

Un jour ou l'autre, c'est une certitude, une pandémie de grippe déferlera sur le monde. L'Office fédéral de la santé publique (OFSP) et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) en sont convaincus. Il suffit pour cela qu'un virus inconnu apparaisse, contre lequel la population n'a pas eu l'occasion de développer de défense immunitaire. C'est une constante de l'histoire de l'humanité. Mais pour la première fois nous sommes en mesure d'anticiper la catastrophe. L'OFSP demande donc à la population de se préparer et d'acheter des masques de protection. Chaque citoyen, à l'exception des jeunes enfants, est appelé à acheter une réserve de 50 masques chirurgicaux pour son usage personnel. Un peu dans le même esprit qui voulait autrefois que les ménages fassent des "provisions de guerre" ou qu'ils aient accès à un abri antiatomique. La stratégie des autorités peut surprendre, explications.


Pourquoi ? Dès sa survenue, l'épidémie de grippe aviaire a fait craindre une pandémie. Le virus est particulièrement virulent à l'encontre de certains oiseaux; s'il s'adaptait de façon efficace à l'homme, il pourrait se propager rapidement. L'OMS a établi un plan d'alerte de six niveaux. Nous sommes, depuis trois ans, au niveau trois : le virus ne se transmet pas encore de l'homme à l'homme, mais la menace est réelle. L'organisation a demandé aux gouvernements de se préparer. Fin 2006, la Suisse bonne élève a été le premier pays à communiquer son plan de bataille contre la pandémie. Il s'agissait de mesures relevant de la Confédération et des cantons. Avec, notamment, le stockage des 8 millions de doses de vaccin pré-pandémique, et des réserves de Tamiflu pour 2 millions de personnes. Aujourd'hui, l'OFSP en appelle à la responsabilité individuelle. A chacun de se protéger.

Comment ? Le port d'un masque chirurgical peut limiter la transmission du virus, qui se propage par la toux et les éternuements. Ou par le contact avec des objets ou surfaces contaminés pour autant que l'on se touche ensuite la bouche, les yeux ou le nez. Aucune étude sur l'efficacité du masque n'a encore été publiée. Mais l'OFSP mise sur l'expérience acquise lors des épisodes de SRAS, le syndrome respiratoire aigu sévère . L'effet de protection escompté repose sur deux facteurs. Lorsqu'il est porté par des personnes infectées, le masque réduit la quantité de germes pathogènes en circulation. Par ailleurs il protège, partiellement, les personnes en bonne santé. Il s'agit donc de diminuer les risques de contamination. Son utilisation doit être simple.

Lequel ? L'OFSP a averti les distributeurs, pharmacies mais aussi grandes surfaces comme Migros et Coop. Celles-ci vendent dès aujourd'hui (depuis le début du mois pour Migros) des emballages de 50 masques simples, certifiés par Swissmedic, l'organe de contrôle des médicaments. Coût 4,90 francs (3 euros) l'emballage. En pharmacie l'offre est plus sophistiquée, avec des modèles munis ou non de soupape (sic). Le modèle le plus simple garantissant une protection de deux heures coûte 20 centimes pièce (12 centimes d'euros), le plus sophistiqué, qui a une durée de vie de huit heures, revient à 4,10 francs pièce (2,5 euros).

Quand ? L'idée est de se munir d'un masque de manière ponctuelle : pour affronter la foule. L'OFSP a calculé qu'il suffirait dans le meilleur des cas d'un masque par jour et par adulte pour faire face à ces situations. Comme une vague de pandémie devrait durer environ six semaines dans une région - douze pour toute la Suisse -, il faudrait environ 50 masques par personne pour faire face aux virus.

Combien de temps ? Après deux ou trois heures, les masques deviennent humides et perdent de leur efficacité. Il faut les changer. Ils doivent être bien adaptés au visage et couvrir la bouche et le nez. L'utilisation précise des masques et les situations dans lesquels il faudra les porter ne seront déterminées que lorsque le virus sera identifié et son mode de propagation connu. kEt les enfants? L'expérience a montré que les masques n'étaient adaptés ni pour les nourrissons, ni pour les enfants en bas âge. En cas de pandémie, il vaut mieux garder les plus petits à la maison et prendre des mesures d'"éloignement social", comme la fermeture des écoles et des garderies.

Quoi d'autre ? L'OFSP rappelle également des mesures d'hygiène simples : se laver régulièrement les mains, utiliser un mouchoir en papier pour tousser et éternuer et le jeter après usage. Eviter de serrer des mains, d'embrasser les gens. Et conseille plutôt de rester à une distance respectueuse de son interlocuteur.

Des poubelles vivantes

Une étude internationale consacrée à l’action des détritus sur la vie marine montre que l’estomac du fulmar boréal, un oiseau de la mer du Nord, contient en moyenne 30 morceaux de plastique. C’est “ le double de ce que l’on trouvait au début des années 80 ”, constate le journal londonien The Guardian. L’étude s’est portée sur le fulmar boréal parce qu’“ il mange presque de tout et ne régurgite pas ce qu’il avale ”. Au nombre des débris plastiques retrouvés dans l’estomac de fulmars morts figurent des jouets, des outils, des cordages, des gobelets, de la mousse à matelas, des bouteilles et des briquets. Le docteur Dan Barlow, coordinateur des recherches pour Les Amis de la Terre Écosse, déclare : “ Cette étude nous a appris que les animaux marins des côtes écossaises sont en train de devenir des poubelles vivantes. ” Le journal ajoute : “ On signale que plus de 100 espèces d’oiseaux de mer, sur les 300 que compte la planète, avalent du plastique accidentellement. ”

Viol par soumission chimique

Statistique inquiétante glanée dans le quotidien The Australian : on enregistre chaque jour en Australie “ jusqu’à cinq cas d’agressions sexuelles sur des personnes ayant consommé dans un bar, une boîte de nuit ou lors d’une soirée privée, une boisson, à laquelle à leur insu une autre substance a été additionnée ”. Cette autre substance peut être un alcool ou une drogue. Certaines de ces drogues sont incolores, insipides et inodores. La victime se retrouve désorientée, immobilisée ou même inconsciente. Certaines en sont même mortes. Toujours selon le quotidien, à la suite d’une enquête nationale menée par l’Institut australien de criminologie “ on estime à 4 500 le nombre de personnes piégées ainsi chaque année, 40 % d’entre elles étant ensuite victimes d’une agression sexuelle ”. Quand les effets du mélange s’estompent, la victime ne se souvient parfois plus de rien.

vendredi 18 mai 2007

Donner vos commentaires

Bonjour à tous

Voila une bonne nouvelle. Vous pourez enfin donner vos commentaires sur les sujets d'infos Roge.

Que vous soyez en Europe, Afrique, Amérique.

Merci à tous pour votre fidélité.

A bientôt, Roge.

mardi 15 mai 2007

Pourquoi est-ce difficile de suivre un régime alimentaire ?

Qu'il s'agisse d'un régime pour maigrir, pour améliorer votre taux de cholestérol, pour cause d'allergie alimentaire, parce que vous êtes diabétique, ou pour une tout autre raison, ce n'est jamais très facile à suivre. Le Quotidien du médecin relate que des chercheurs ont étudié, décortiqué ces difficultés pour les comprendre et peut-être, les contourner plus facilement.Vous avez commencé un régimerégime. Ici, il s'agissait d'un régime pour hypercholestérolémie, mais il est possible que ces mêmes raisons existent aussi dans le cas de régimes différents et tout aussi importants pour la santé.
et vous n'y arrivez plus. Vous vous en éloignez, vous vous en voulez. Oui mais pourquoi n'y arrivez-vous pas ? Une vingtaine de personnes ont été interviewées au cours d'une étude pour tenter de classer les raisons qui poussent à abandonner son

Quatre raisons ont été identifiées :

Un rapport difficile entre le médecin et son patient
" Je ne crois pas ce que dit mon médecin " a par exemple affirmé un participant à l'étude. Peut-être que les médecins devraient plus s'occuper de la manière dont leur message passe auprès des personnes qu'ils suivent ! Peut-être aussi devraient-ils y mettre de la conviction, car si un médecin parle de maigrir à quelqu'un alors qu'il est lui-même en surpoids, il sera nettement moins crédible. Ou encore, s'il ose considérer que ce régime est facile et évident, ce qui n'est jamais le cas…

perception amoindrie de son problème de santé
La deuxième raison qui pousse à interrompre un régime est une perception amoindrie de son propre problème de santé. " Après tout, je ne suis pas si malade ", voire " le cholestérol, ce n'est pas vraiment une maladie ". Le problème qui vous oblige à faire un régime ne vous semble finalement pas si grave que cela. Du coup, l'investissement que vous allez mettre dans ce régime est très limité.

Un contexte social
Le contexte social peut, lui aussi, vous inciter à laisser votre régime de côté. Manger, ce n'est pas seulement se nourrir. C'est aussi un acte social, un moment de convivialité et si vous devez manger à part, manger différemment, refuser ce que l'on vous sert, votre moral peut baisser sévèrement. Cette sensation de mise à l'écart sociale volontaire peut être très difficile à supporter et c'est un écueil important sur lequel un régime peut échouer.

Un modèle alimentaire habituel que l'on doit abandonner
Le modèle alimentaire auquel vous êtes habitué est remis en cause par votre régime. Vous êtes obligé de changer des choses auxquelles vous êtes attaché par tradition, par habitude, par des sentiments positifs. Des comportements qui, depuis toujours, font partie de vous, doivent être abandonnés et c'est parfois très difficile à réaliser. Par exemple " Je suis d'une région à fromage, je ne me vois pas arrêter complètement "… " Les frites, ça me rappelle ma grand-mère qui m'en faisait tous les dimanches… " Et, abandonner ces aliments qui sont un peu comme des doudous alimentaires, des aliments qui portent en eux des valeurs émotionnelles, c'est douloureux.

Ces quatre éléments sont des facteurs qui participent à l'arrêt momentané, à l'abandon total, ou simplement aux hauts et bas dans le suivi d'un régime. Il en existe d'autres, de toute évidence. Mais déjà, vous poser honnêtement la question : " qu'est-ce qui m'empêche réellement de suivre ce régime ? " vous permet de prendre peut-être des mesures. Au lieu de dire simplement " c'est trop difficile ", décortiquer ces raisons aide à mieux les affronter, plutôt que de se culpabiliser sans pouvoir agir pour réussir un régime important pour votre santé.

C'est un peu le principe d'une tâche à faire. Si elle est immense, vous baissez les bras immédiatement. Si vous la scindez en petites tâches, vous les réalisez une par une et vous avez une chance de réussir finalement votre grand projet. De la même manière ici, si vous agissez sur chaque force contraire à votre régime, l'une après l'autre, vous augmentez notablement vos chances d'arriver à le tenir.

lundi 7 mai 2007

Un ascenseur capture les voyous qui le vandalisaient...

OSLO - Deux jeunes voyous norvégiens avaient oublié un détail plein d'importance lorsqu'ils ont commencé à tout casser dans l'ascenseur d'une gare: ils se trouvaient à l'intérieur.

Et l'appareil de la gare de Lilleström, au nord d'Oslo, semblait du genre vengeur. Ses portes se sont bloquées et les deux voyous sont restés coincés à l'intérieur jusqu'à l'arrivée de la police.

"Le vandalisme est toujours triste, mais beaucoup de personnes s'amusent" de cet incident, qui a été révélé lundi dans les médias norvégiens, a réagi Ellen Svendsvoll, de la société nationale de chemin de fer. "Ils ont eu ce qu'ils méritaient".

Les deux vandales, âgés d'une vingtaine d'années, sont entrés dans l'ascenseur le 21 avril et ont attendu que les portes se referment. Ils ont ensuite commencé à les frapper, a-t-elle expliqué. Mais ils y ont mis tant d'ardeur qu'elles se sont bloquées. L'ascenseur s'est arrêté et une alarme a été envoyée aux vigiles.

Les pompiers ont libéré les deux suspects, alors que la police les attendait dehors. "C'est ce qui s'appelle être pris sur le fait", a souligné Ellen Svendsvoll. Une caméra de vidéo-surveillance avait enregistré leurs moindres faits et gestes.


vendredi 4 mai 2007

Un massage pour bébé

ANITA, une jeune mère nigériane, donne le bain à son bébé, puis le masse délicatement. C’est un agréable moment, pour la mère comme pour l’enfant. “ Chez nous, c’est une pratique courante, explique Anita. Ma mère nous massait, mes frères et moi. Le massage est un excellent moyen de tonifier les muscles du bébé et de le relaxer. Tout en massant ma petite fille, je chante et je lui parle. En retour, elle gazouille et me sourit. Ce sont des instants uniques ! ”

Le massage du nouveau-né, déjà courant dans de nombreux pays, tend à se populariser en Occident. Selon l’Association espagnole du massage infantile, il s’agit d’une technique subtile, tendre et agréable qui permet d’établir une communication physique et affective avec son tout-petit. Il consiste à presser, doucement mais fermement, différentes parties du corps comme les pieds, les jambes, le dos, le torse, le ventre, les bras et le visage.

Qu’apporte le massage au bébé ?
Surtout une sensation d’amour et de tendresse. Un nouveau-né n’a pas seulement besoin d’être nourri, il a également besoin de l’affection de ses parents. Son sens du toucher se développant très tôt, un massage doux lui communique de façon tangible cet amour. On peut transmettre beaucoup de messages physiques et affectifs à un bébé. Le massage permet ainsi de consolider le lien d’affection qui unit le père ou la mère à l’enfant dès la naissance.

Mais le massage ne fait pas que communiquer de l’amour. Il apprend aussi au bébé à se détendre, ce qui allonge les phases de sommeil profond et réduit le stress. En outre, il tonifie les muscles et régule les systèmes circulatoire, digestif et respiratoire. Certains affirment même qu’il est bénéfique au système immunitaire. En stimulant le toucher, la vue et l’ouïe du bébé, le massage favorise également la mémorisation et l’apprentissage.

Des hôpitaux se sont penchés sur les bienfaits du massage infantile. Une étude a révélé par exemple que les prématurés que l’on avait massés étaient sortis de la maternité jusqu’à sept jours avant les autres et que leur prise de poids était jusqu’à 47 % supérieure.

Manifestement, un bon massage ne fait pas du bien qu’aux adultes ! Mais pour les bébés il est plus qu’une séance de relaxation. C’est de l’amour, raconté par des mains chaleureuses et des doigts affectueux, accompagné d’un sourire radieux.

jeudi 3 mai 2007

Des microbes plein les mains

Les agents infectieux sont partout, mais les mains représentent le premier vecteur de propagation. Et nos mains, nous les portons inévitablement à notre bouche… Pour nous en prémunir, le Dr Salmann* recommande le lavage des mains en toutes circonstances, mais aussi d'abandonner notre habitude de serrer la main à chaque personne rencontrée.

Les risques infectieux sont partout

Paradoxalement, nous sommes confrontés à des micro-organismes redoutables alors que nous disposons d'un arsenal thérapeutique et préventif des plus performants. C'est que notre hygiène et notre mode de vie (alimentation, hygiène, échanges, déplacements) a évolué. C'est ainsi que dans son livre "On s'en lave les mains", le Dr Frédéric Saldmann en vient à nous conseiller de réapprendre en urgence les gestes simples d'une bonne hygiène quotidienne, soit celle de nos aïeux.
Et il commence directement par nous recommander expressément d'abandonner cette habitude de se serrer la main. Les mains représentent le premier mode de propagation des agents infectieux. Non pas que les germes pénètrent par la peau, mais parce que nous portons inévitablement notre main à notre bouche.

Le Dr Saldmann nous met en garde à l'aide d'exemples concrets et souligne ainsi l'ampleur du phénomène.

Une personne qui tousse porte par réflexe sa main à sa bouche afin de protéger son entourage. En revanche, des millions de germes se sont déposés dans sa main, et seront transmis à quelqu'un d'autre à la première poignée de main. Et ce quelqu'un d'autre, à un moment ou à un autre, mais dans un laps de temps très court, portera inévitablement sa main à sa bouche et sera contaminé.
Concernant les germes du tube digestif, "en serrant la main d'une personne sortant des toilettes sans s'être lavé les mains, vous risquez une fois sur trois de retrouver des germes fécaux de cette personne dans votre bouche dans les deux heures".
Selon une étude sur le terrain, sur 15 personnes ayant reçu une poignée de main de la part d'une personne qui ne s'est pas lavé les mains en sortant des toilettes, 11 d'entre elles ont recueilli des bactéries sur leurs mains. Dans une autre expérience identique, les bactéries ont été retrouvées sur les lèvres de 7 personnes sur 18, soit 39%.

Comment échapper à la poignée de main ?

Reste que dans la vie quotidienne, il est difficile de refuser une poignée de main. Il faut donc ruser. Se laver les mains dès que possible, avoir sur soi des lingettes antiseptiques, limiter les occasions de se serrer la main, prendre l'initiative avec un acquiescement de la tête, un sourire voire un clin d'œil, un signe de la main, une tape sur l'épaule, etc. on peut aussi envisager de remplacer la poignée de main par une bise sur la joue, à la condition expresse qu'aucun des deux ne soit enrhumé, grippé, atteint d'une gastro-entérite ou d'un herpès labial…
Et enfin, ne pas apprendre à nos enfants cette habitude de la poignée de main.

Se laver les mains en toutes circonstances

Tout au long de son livre, le Dr Saldmann revientconstamment sur la même consigne : se laver les mains !
Et ça vaut le coup. Selon une étude ayant porté sur deux groupes d'étudiants américains, se laver les mains régulièrement diminue de 20% le risque de maladies, notamment respiratoires et de 43% l'absentéisme. Hélas, 45% ne se lavent pas les mains en sortant des toilettes alors qu'ils ne sont que 9% lorsqu'ils utilisent des toilettes collectives, c'est-à-dire, lorsqu'ils sont sous le regard d'un camarade…

* le Dr Frédéric Saldmann est ancien attaché des Hôpitaux de Paris, spécialiste reconnu en hygiène alimentaire et directeur de la revue Nutrition pratique. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages dont les Nouveaux risques alimentaires (Ramsay, 1997) et très récemment "On s'en lave les mains" (Flammarion, 2007)


mercredi 2 mai 2007

Les dinosaures mangeaient de l’herbe

Les scientifiques sont ébahis ” d’apprendre que “ les dinosaures mangeaient de l’herbe ”, rapporte l’Associated Press. C’est grâce à l’analyse des excréments fossilisés d’un sauropode trouvé en Inde qu’on a découvert le pot aux roses. Mais pourquoi s’étonner ? Parce que jusqu’ici on pensait que “ les premières graminées dataient de bien longtemps après l’extinction des dinosaures ”. On croyait aussi que les sauropodes “ n’étaient pas dotés des dents nécessaires pour broyer les feuilles abrasives ”. Commentaire de la paléobotaniste Caroline Stromberg, chef du groupe de chercheurs : “ Personne ou presque n’aurait pu soupçonner qu[e les sauropodes] mangeaient des graminées. ”

Ce qui agace le plus les collègues

Lu dans le Washington Post : “ Au palmarès des manies qui agacent le plus nos collègues : les conversations téléphoniques bruyantes, [l’emploi de] la fonction mains libres et les jérémiades au sujet de la charge de travail. ” En voici d’autres : “ Les clans, les retards chroniques, les manies de parler tout seul, de converser par-dessus les cloisons, de faire du bruit en mangeant, et enfin le manque d’hygiène. ” Ces habitudes nuisent aussi à la productivité. La majorité des personnes interrogées par les chercheurs ont cependant avoué n’avoir jamais parlé franchement à ceux qui les irritent. “ Et pour cause, nuance le journal. Ils en ont peut-être tout autant à se reprocher. ”
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