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mardi 30 janvier 2007
SMS perturbateurs
Donnez-leur le goût de la lecture
L’eau, une denrée inestimable
De nombreuses raisons expliquent le problème de l’eau. En France, c’est la pollution qui est en cause. Elle est de plus en plus préoccupante. “ Les rivières françaises sont en très mauvaise santé ”, révèle Le Figaro. D’après les scientifiques, l’eau est contaminée par les nitrates contenus dans les engrais agricoles. “ Les fleuves français ont rejeté 375 000 tonnes de nitrates dans l’Atlantique en 1999, soit près de deux fois plus qu’en 1985 ”, ajoute le journal.
Au Japon, la situation est identique. Afin d’assurer au pays une production stable de nourriture, “ les agriculteurs n’ont eu d’autre choix que de recourir aux engrais chimiques et aux pesticides afin de satisfaire la demande ”, explique Yutaka Une, responsable d’une association de lutte contre la pollution agricole. Il en est résulté, selon les termes de l’IHT Asahi Shimbun de Tokyo, “ un problème grave au Japon ” : la contamination des eaux souterraines.
Au Mexique, 35 % des maladies “ sont imputables à la dégradation de l’environnement ”, signale le journal Reforma. Qui plus est, d’après une enquête du ministre de la Santé, “ 1 habitant sur 4 ne dispose pas d’égout ; plus de huit millions trouvent leur eau dans des puits, des rivières, des lacs ou des torrents ; plus de un million d’autres l’obtiennent auprès de camions citernes ”. Dès lors, qui sera surpris d’apprendre que 90 % des cas de diarrhée sont attribués à l’eau contaminée ?
“ On ne trouve pas que du soleil, du sable blanc et de l’eau claire sur les plages de Rio, fait observer le magazine Veja. On y croise aussi des colibacilles d’origine fécale et des flaques de pétrole. ” La raison en est que plus de 50 % des égouts brésiliens se déversent directement dans les cours d’eau, les lacs et l’océan sans subir d’épuration. Il en résulte des pénuries chroniques d’eau potable. Les cours d’eau qui entourent São Paulo, la plus grande ville du Brésil, sont tellement pollués qu’il faut faire venir de l’eau depuis une distance de 100 kilomètres.
De l’autre côté du globe, en Australie, la pénurie d’eau est principalement due à un phénomène appelé salinisation. Pendant des dizaines d’années, on a encouragé les propriétaires terriens à défricher leurs terres pour les cultiver. Comme moins d’arbres et d’arbustes puisaient de l’eau dans les nappes phréatiques, le niveau de celles-ci s’est élevé, amenant plus près de la surface des milliers de tonnes de sel. “ La salinité frappe déjà quelque 2,5 millions d’hectares, constate le CSIRO, un institut de recherche. Ces terres agricoles comptent parmi les plus productives du pays. ”
De l’avis de certains, ce désastre aurait pu être évité si le législateur australien n’avait pas privilégié le profit au détriment de l’intérêt public. “ Dès 1917, on a informé les autorités que les régions où se cultivait le blé étaient particulièrement sujettes à la salinité, rappelle Hugo Bekle, de l’université Edith Cowan, à Perth. Dans les années 20, on a rendu publics les dangers du défrichage et, dans les années 30, le ministère de l’Agriculture a reconnu ses effets sur l’élévation des nappes phréatiques. En 1950, le CSIRO a réalisé une étude approfondie pour le gouvernement [australien]. [...] Pourtant, les autorités n’ont pas tenu compte de ces cris d’alarme, accusant les scientifiques de parti pris. ”
Notre survie est menacée
La coiffe et sa signification
La coiffe
La coiffe est essentielle à la tenue traditionnelle créole.
Les femmes en possèdent des «prêtes à poser». Déjà travaillées, elle sont dites «chaudières» et se posent sur les cheveux tirés en arrière et retenus. Elles sont maintenues grâce à une petite barrette en or, l'épingle tremblante, composée de trois fils d'or torsadés, faisant ressort et se rejoignant à la base par un grain d'or auquel est soudée une pointe. Autrefois, l'épingle tremblante portée par les nourrices, comportait à son extrémité un brin de cheveux ou une dent de lait de l'enfant élevé.
Le nombre de bouts de la coiffe varie selon la situation sentimentale de celle qui la porte : une pointe : «coeur à prendre», deux pointes : «déjà pris», trois pointes : «femme mariée» ou femme mûre et libre.
D'ou vient le madras
Le madras
À l'origine, le madras venait des Indes. Il résultait du tissage artisanal de fibres de bananier auxquelles sont venus par la suite s'ajouter des fils de coton plus solides.
On distinguait le madras aux coloris vifs et variés, tissé avec des fils retors (en provenance d'Angleterre), et le mouchoir, tissé avec des fils plats rouge, bleu foncé et rose. Le long de la lisière, le madras et le mouchoir des Indes présentaient des petits trous produits par les pointes qui tendent le tissu sur le métier. La distance entre deux trous s'appelle un « coujou ».
Autrefois, on achetait la pièce de madras par coujous. Le mouchoir coûtait deux fois moins cher que le madras, mais, comme ses couleurs étaient plus ternes, il fallut trouver un moyen de le rendre plus attrayant, d'où le travail du «calandrage». Ce dernier consistait à peindre toutes les parties roses avec un mélange de gomme arabique et de jaune de chrome. Le résultat était un imprimé éclatant.
Aujourd'hui on utilise le madras pour faire des vêtements , des cousins, des chapeaux, des poupées de décorations. D'ailleurs j'ai créer un modèle de sac avec le madras "sac jupette". Voyez la photo ci- dessus.
Rogers